T’as toujours rêvé de savoir quelle ville était la plus chaude – et pas uniquement en terme de météo ? Ca tombe bien car l’IFOP s’est intéressé à la vie sexuelle des habitants de Paris par rapport aux moyennes nationales. Et devine quoi ? Les Parisiens sont chauds !
Les célibataires :
Si t’es célibataire et que t’es en quête d’un(e) nana/mec, bonne nouvelle puisqu’à Paris il y a une forte population de célibataires ! Près de 10% de plus que dans le reste de la France (43% à Paris contre 33%). Cette différence est d’ailleurs très nette chez les filles puisqu’une fille sur 2 est célibataire. Les garçons ont l’embarras du choix. En revanche, pas question pour eux de rester à attendre que le grand amour se présente, puisque 44% des hommes et 23% des femmes ont régulièrement des plans culs.
Les couples :
Du côté des couples, ils ont tendance à être plus jeunes que le reste de la France, puisque 25% des couples de la capitale sont ensemble depuis moins de 3 ans. C’est meeeeugnon ? Oui, mais pas trop car l’engagement ne représente pas vraiment le point fort des Parisiens, entre les couples libres (35% contre 22) et les relations extra-conjugales. Plus de la moitié avoue avoir déjà couché avec une autre personne que leur partenaire, rien que ça !
Les pratiques sexuelles minoritaires :
Paris est également perçu comme une ville où il fait bon vivre quand on est gay ou lesbienne, puisque 12% de la population parisienne affirme être homo ou bi contre 7% . Il semblerait qu’il y ait une plus grande tolérance et ouverture d’esprit qu’ailleurs. C’est pourquoi les Parisiens sont plus à même d’expérimenter certains de leur fantasme comme coucher avec une personne de même sexe ou se rendre dans des clubs échangistes.
Les pratiques à risque :
Les pratiques à risque sont également plus répandues, puisqu’un tiers des étudiants a déjà participé à une Skins Party (drogue, alcool, sexe) et près de la moitié des étudiants interrogés ont déjà couché après avoir consommé de la drogue. Avec ou sans capote ? On n’a pas eu les détails. De même, 52% des étudiants ont déjà eu des jeux/ébats sexuels dans des lieux publics. Eh oui ! Quand on est encore chez les parents, qu’on vit en coloc ou qu’on n’a pas encore notre vrai chez nous, on se débrouille comme on peut…
Alors Paris mérite-t-elle toujours son nom de ville de l’amour ? Ce qui est sûr c’est que niveau sexe, c’est caliente ! Pour ceux qui ont envie d’expérimenter de nouveaux trucs, on peut dire que c’est le paradis, pour les éternels romantiques (surtout du côté fille)… Peut-être un peu moins !